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L’homme rapaillé de Gaston Miron s’impose comme un incontournable de la littérature québécoise. Webster et ses complices littéraires font le tour de ce géant d’ici, poète et éditeur, militant culturel et politique.

Le très célébré recueil de poésie a d’abord été publié en 1970 aux Presses de l'Université de Montréal.

Étant insastisfait d'avoir publié ses poèmes de manière éparse durant vingt ans, ce n'est qu'à l'aube des années 1970 qu'il se laisse convaincre de les regrouper, avec quelques-uns de ses textes en prose, dans un recueil intitulé L'homme rapaillé, qui sera son "maître ouvrage". Le publiant d'abord en 1970 aux Presses de l'Université de Montréal (et non pas aux Éditions de l'Hexagone), Miron retravaille constamment cette oeuvre : sept éditions de ces textes auront été ainsi publiées de son vivant, sur quelque 25 ans. (Source : Wikipédia). 

Depuis, il a su inspirer des générations de poètes, d’auteurs, de musiciens et de lecteurs.  Plus près de nous, on n’a qu’à penser aux interprétations offertes par les 12 hommes rapaillés ou par l’artiste Chloé Ste-Marie.

Né à Ste-Agathe-des-Monts le 8 janvier 1928 et décédé à Montréal le 14 décembre 1996, Gaston Miron a reçu de nombreux prix pour son recueil L’homme rapaillé, ouvrage traduit partout dans le monde. Soulignons que le gouvernement du Québec lui a réservé des funérailles nationales dans sa ville natale le 21 décembre 1996, consacrant ainsi Miron comme « poète national » du Québec.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaston_Miron

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