La Fabrique Culturelle

William S. Messier, sur le terrain de la vie ordinaire

Si le hockey est reconnu comme le sport national au Québec, c’est pourtant le basketball qui se pratique le plus dans les ruelles de quartiers, les gymnases et les parcs de banlieues. Piquée de curiosité par le titre du roman Le basketball et ses fondamentaux, La Fabrique culturelle a souhaité rencontrer dans un parc l’auteur William S. Messier afin qu’il nous parle de son projet d’écriture et de son rapport au basketball.  

Quand on grandit dans un lieu sans histoire, ordinaire et plat, parfois la machine qui alimente les rêves et engendre l’espoir se nomme le basketball. Or, nous savons tous que le sport c’est plus que du sport, c’est un environnement pour se dépasser et un milieu de vie social. 

Dans son projet d’écriture, William entrelace tous ces ingrédients, il s’intéresse au sport, mais aussi au destin de ceux et celles qui gravitent autour des vestiaires et des gymnases. Dans Le basketball et ses fondamentaux, il fait entendre les voix drôles et touchantes d’une galerie de personnages à la fois proches de nous et fondamentalement étranges, qui tous ont éprouvé, à un moment ou à un autre, l’intense conviction que c’est en racontant et en jouant qu’on se réinvente, malgré l’esprit qui s’emballe, les abeilles tueuses et les fautes personnelles. Extrait – Le basketball et ses fondamentaux

Pour faire un clin d’œil à tout ceci, voici une expression du grand basketballeur Michael Jordan :

«J'ai raté 9000 tirs dans ma carrière. J'ai perdu presque 300 matchs. 26 fois, on m'a fait confiance pour prendre le tir de la victoire et j'ai raté. J'ai échoué encore et encore et encore dans ma vie. Et c'est pourquoi je réussi.»  Source : Internet http://citations-de-basketball.skyrock.com/

http://www.lequartanier.com/catalogue/basketball.htm

Crédits

Coordination: Chantal Lagacé

Réalisation, caméra et montage : Sébastien Pomerleau

Collaboration : Myriam Leblond