La Fabrique Culturelle

Lana Greben : de l'Ukraine à l'Abitibi

Lana Greben se définit comme fashion artist, elle vit et travaille à Amos, sa pratique artistique s’inspire de la représentation, de la perception de l’image à travers la mode et le vêtement.

Ces préoccupations se télescopent dans le but d’organiser et habiter ses tableaux et l’espace autour de lui.

Il y a 10 ans, Lana Greben a quitté l’Ukraine et le droit pour suivre son amour abitibien. D’une même impulsion, elle quittait son pays et une profession libérale pour se vouer à sa création artistique.

Des changements radicaux qui lui ont permis d’atteindre une reconnaissance enviable puisque ses toiles se retrouvent dans les galeries et des foires artistiques fort courues… Depuis quelques années, Lana Greben crée ses toiles en Abitibi, mais rayonne à travers la planète; elle expose et vend ses toiles à Barcelone, New York, Montréal, Toronto, Londres et Paris.

Récipiendaire de nombreux prix, dont plusieurs obtenus lors de différentes éditions du Gala international des Arts visuels Son et Lumière de Montréal, son travail lui a valu une nomination à l’Académie des Sciences, des Arts et des Lettres de Paris. En juillet 2012, elle a reçu le Prix Hommage spécial Roumanie 2012 (toutes catégories) à l’occasion de l’exposition La diversité dans l’art regroupant 164 œuvres de 106 artistes canadiens et européens, au Musée national de la Marine roumaine.

Ses tableaux sont exposés en permanence dans plusieurs galeries à Montréal, Toronto, Londres, Paris, Roumanie, Las Vegas, New York. À la mi-décembre elle faisait partie des 24 artistes canadiens sélectionnés pour exposer une œuvre au Salon annuel de la Société nationale des Beaux-arts (SNBA) de France, au Carrousel du Musée du Louvre à Paris.(Source : L’Indice Bohémien http://www.indicebohemien.org/articles/2013/02/une-etoile-montante#.VmhYq2fluot)

http://www.lanagreben-fashionartist.ca

Crédits

Coordination Télé-Québec Abitibi-Témiscamingue : Josée Lacoste et André Cullen

Caméra, montage et réalisation : Éric St-Laurent

Entrevue : Josée Lacoste